Le Lexique

AUTOFOCUS :Cela signifie que l'appareil peut faire la mise au point afin d'avoir une image nette grace à un système electronique. A noter que certains appareils ( comme l'EOS E30) ont en option un système d'autofocus basé sur l'oeil du l'utilisateur. Le système utilise l'oeil afin de savoir où se porte le regard du photographe pour faire la mise au point DIAPHRAGME : Mécanisme situé à l'intérieur de l'objectif qui contrôle l'ouverture. Sert à désigner la taille de l'ouverture de l'objectif. Les grandes ouvertures sont notées par un petit numéro comme f/1,4 et les petites par un numéro supérieur comme f/32.

SENSIBILITE/Norme ISO : Abréviation de International Standards Organization. Ce nombre indique la vitesse du film, c'est-à-dire sa sensibilité à la lumière. Un film de 800 ISO aura besoin de moins de lumière qu'un 100 ISO pour avoir une exposition correcte.

PROFONDEUR DE CHAMP : Zone de netteté apparente sur une photo.

VITESSE : Temps pendant lequel le rideau de l'obturateur s'ouvre et se referme. Les vitesses les plus fréquentes sont 1 seconde, 1/2, 1/4, 1/8,,1/15, 1/30, 1/60, 1/125, 1/250, 1/500, 1/1.001 de seconde. Attention, en dessous d' 1/30, les risques de « bougé » sont importants ; il est préférable d'utiliser un pied.

LE BOITIER : il abrite tous les organes de l'appareil. Son dos est amovible pour le chargement et le déchargement du film. Il est de plus en plus compact et léger. Un 24 x 36 pesait 1.500 g, il y a quelques années. Les modèles récents ne dépassent pas 600 g et leurs dimensions sont sensiblement réduites.

L'OBJECTIF : il est composé de lentilles qui obligent les rayons lumineux à former une image nette sur le film. Son diaphragme est généralement à présélection automatique. Cela signifie que quelle que soit la valeur du diaphragme choisie, l'objectif reste à grande ouverture, pour faciliter la visée, le cadrage et la mise au point. C'est seulement au moment du déclenchement que le diaphragme se règle à l'ouverture présélectionnée.

L'OBTURATEUR : Mécanisme contrôlant la durée de l'exposition du film à la lumière. Sur les reflex, il est du type focal (ainsi appelé parce qu'il fonctionne près du "foyer" de l'objectif, c'est à dire juste devant le film), soit à rideaux, soit à lamelles métalliques, quelque soit l'objectif ce qui permet l'interchangeabilité de ce dernier.

LE VERRE DE VISEE : c'est un verre dépoli (une lentille de Fresnel comportant un système de mise au point par stigmomètre, microprismes, etc.) sur lequel se forme l'image projetée par l'objectif. Certains reflex acceptent des verres de visée différents conçus pour tous types de prises de vues et plus particulièrement les prises de vues professionnelles...

LA MESURE DE LA LUMIERE : elle se fait par un posemètre incorporé. Sa ou ses cellules sont généralement placées sur le trajet de la lumière qui pénètre dans le boîtier. C'est la mesure "à travers l'objectif;" TTL (en anglais, Through The Lens). Le posemètre est couplé avec l'indicateur de, rapidité de film, avec le sélecteur de vitesses de l'obturateur et avec le diaphragme. Mise au point par microprismes Mise au point par stigmomètre à champs coupés.

LA MISE AU POINT : Rendre le sujet net Il existe deux principaux systèmes pour régler la netteté de l'image : - la mise au point télémétrique Dans un viseur télémétrique, l'image est dédoublée, tant que la mise au point n'est pas faite. Lorsque, le réglage est parfait, les deux images ne font qu'une. Généralement, le télémètre est couplé à l'objectif de sorte que l'objectif est convenablement réglé quand, dans le télémètre, les deux images coïncident. - les appareils-photo reflex à un ou deux objectifs, il suffit de regarder dans le viseur. Si l'image projetée sur le verre dépoli est floue, la mise au point est imparfaite ; il faut alors tourner, sur l'objectif, la bague de mise au point, jusqu'à obtention d'une image nette dans le viseur ; ce qui signifie la netteté de l'image sur le film. Les appareils reflex mono-objectif ne se contentent pas d'un dépoli pour effectuer la mise au point. Un second système est, habituellement, joint au premier. Soit une plage de microprismes, qui disparaissent de l'image lorsque le réglage est correct ; soit un stigmomètre à champs coupés: une partie de l'image est scindée en deux tant que la mise au point n'est pas parfaite.

LA PROFONDEUR DE CHAMP : Avec un petit peu d'attention, vous remarquerez qu'en réalité, sur vos diapositives ou vos tirages papier, la zone de netteté est généralement plus importante que celle constatée dans le viseur, lors de la prise de vue. Intervient en effet ici le phénomène de la profondeur de champ. Cette profondeur de champ est la distance qui sépare le premier plan net du dernier plan net. Disons pour simplifier que si la mise au point est réalisée sur un objet placé à 1,5 m, tous les plans situés entre 1, 2 et 2 m seront nets sur l'image. La profondeur de champ dépend de trois facteurs : 1) la focale employée (50 ou 135 mm par exemple) ; 2) le diaphragme choisi (U5,6 ou f/16 par exemple) ; 3 ) la distance de mise au point (l'objet visé est-il à l'infini, 10 mètres ou 3 mètres ?) Evaluer l'étendue de la profondeur de champ ? 1 Tout d'abord, l'échelle de profondeur gravée sur votre objectif qui permet grâce à une double échelle des diaphragmes, de connaître les distances minimum et maximum de netteté. 2 Le testeur de profondeur de champ ( si présente sur votre appareil).

POSEMETRE : Système electronique qui permet de mesurer la quantité de lumière.Selon la sensibilité du film utilisé permet d'indiquer les différents couples Vitesse/diaphragmes utilisables pour obtenir une image "normalement exposée". Le posemetre est soit intégré à votre reflex et/ou vous pouvez en acheter un indépendant

MESURE GLOBALE : Ce mode de mesure est utilisé sur les posemetre indepednants et la plupart des compacts dont la cellule est située sur la face avant du boitier. La cellule voit l'ensemble de la scène couverte par l'ojectif si système TTL. La mesure est valable dans beuacoup de cas où le contraste est moyen. Par contre dans le cas où plusieurs expositinos différentes, fond sombre, contrejour....

MESURE PONDEREE : En rèle générale beuacoup de reflex disposent de la la mesure pondérée à prédominance centrale. Le montage de la cellule permet de répartir la sensibilité , non pas sur l'ensemble du champ, mais en l'orientant vers la région centrale où d'habitude l'utilisateur 'lambda' place son sujet. Dans le cas où le sujet n'est pas positionnéde la sorte il faut effectuer des corrections d'exposition.

MESURE SELECTIVE/SPOT : La cellule mesure la quantité de lumière sur une très petite partie de l'image, en général sur la partie comprenant le sujet.

MESURE MULTIZONE : Cette mesure laisse zu système le soin de déterminer la nature de la scène , comment bien exposer la pellicule. Il va procéder à différentes mesures sur l'ensemble de l'image couverte puis il va comparer ces résultats à ceux enregistrés en mémoire par le fabricant de l'appareil. Ensuite il choisira les meilleurs réglages en fonction de ces comparaisons.

FILTRE : C'est un élément en verre, en gélatine ou en plastique qui permet de fair eessortir sur la photo sa propre couleur en attenuant les autres couleurs.Exemple pour faire ressortir un beua ciel bleu et une mer bleu vous pouvez utiliser un filtre bleu. Il existe des filtres de toutes sorte couleur ,contraste,anti UV ......

DECLENCHEMENT SUR 2eme RIDEAU : Quand on opére à vitesse lente avec flash sur un sujet mobile les trainées de filé du mobile,capturée pendant le temps d'ouverture de l'obturateur sont situées en avant du sujet.Avec certains couples appareil/flash il est possible de ne déclencher l'éclair qu'au départ du 2nd rideau et donc les trainées suivent le sujet mobile ua lieu de le précéder.

TTL : De l'anglais Through The Lense : littérallement à traves la lentille . Par exemple se dit d'une mesure de lumière TTL, autrement dit que le systèm de mesure se situe derriere l'objectif et don la lumière mesurée passe a travers l'objectif composé de lentilles ( lens en anglais).

Prise Synchro X : Sur les appareils orienté pro on a souvent unprise sur le coté permettant de brancher un flash ou autre système de flashs permettant de synchroniser le flash à n'importe quelle vitesse d'obturation.

Pixel : Vient de la contraction de 2 mots anglais : "PICture ELement", c'est le point elementaire ou plus petite unité composant une image numérique.

Fichier JPEG : Vient de "Joint Photographic Experts Group" : procédé de compression des images numériques conçu pour gagner de la place Attention ceci implique une certaine perte de données de l'image compressée.

Fichier : TIF Le fichier TIFF( Tagged Image File Format) créé en 1987, est un mode d'enregistrement de l'image à partir de Tag, étiquettes.Parmi les différents TIFF exsitant seul 2 sont utilisés TIFF non compressé qui donne des images d'environ 3*nb pixels du capteur: pas de perte de donnée et le TIFF compressé sans perte qui donne 2/3(nb(pixels).

Fichier RAW : Ce format diffère totalement des autres format en ce sens que l'interpolation des couleurs ne s'effectue pas dans l'appareil et nécessite donc un logiciel propriétaire afin de pouvoir le manipuler.Il conserve toutes les informations de la photo un peu comme le négatif en argentique !

SCANNER : Appareil permettant de numériser des documents page (livre revue...),photos dit scanner de type plat. Sinon peut numériser des photos à partir de dipaositives ou négatifs, scanner beaucoup plus chère mais indispensable pour "remplacer" le système de développement traditionnel du labo photo.

Capteur CCD : Vient de Charge Couple Device.Il est composé d'un réseau rectangulaire de cellules photsensibles qui divisent l'image en points(pixels) et génère un courant électrique proportionnel à l'intensité lumineuse reçue.

Capteur CMOS : Vient de ( Complementary Metal-Oxide Semiconductor)Existe depuis lontemps mais était de qualité médiocre auparavant et utliisié principalment dnas la video.Depuis il a progressé et est devenu,d'une part grâce aux APS, d'autre part grâce à l'explosion des Apparels numériques, suffisemment performant pour êtr eutilisé dans des systèmes photographiques élaborés.Le fonctionnement ressemble à celui du capteur CCD mais se différencie a univeau de la lecture des pixels et de la création du signal.

Capteur Super CCD : La grande différence avec un cpateur ccd classique est la disposition des cellules disposées en quiconce. Ainsi l'intervalle entrles photosites est réduit d'un facteru de 0.707. Selon fuji en utilsiant un algorithme et un processeur approprié on aurait l'equivalent d'un 12M de pixels avec un capteur 6M ce qui reste subjectif puisqu'on parle de résolution interpolée et non réelle.Paar contr elle permet une amélioration du rendu des couleurs et améliore l'antialiasing.

Capteur Foveon : Capteur se différenciant par le fait qu'il utilise la relation longueur d'onde/profondeur de pénétration dans le silicium. Ainsi le "rouge" pénètre + que le "vert" qui pénètre + que le "bleu". Au lieu d'utiliser un filtre mosaîque pour obtenir les couleurs on recueille directement les infos sur les couleurs et ainsi on supprime le filtre et le calcul des données couleurs par interpolation.

Formats 4:3-1:2-moyen format : Se dit d'appareil utilisant des négatifs différents des classics 24x36 qui signifie que l'image est enregistrée sur un morceau de pellicule de 24mm de haut par 36 de longueur.En fait les moyens formats utilisent de négatifs de plusieurs tailles différentes mais beacoup plus grands : 6x4.5 ou 6x6 ou 6x7 cm. On a ainsi pour une même photo une résolution bien meilleure que sur un négatif 24x36 puis qu'on gagne en moyenne 400% d'infomations pour une même photo entre le 24x36 et le moyen format.

Distance focale : Elle indique l'angle de vue couvert par l'objectif. Une courte focale embrasse un champ large et permet de s'éloigner du sujet à l'inverse une longeu focale embrasse un champ réduit mais permet de se rapporcher du sujet ( Zoom).

Vignettage : Ce phénomène qui gache les photos est dû au rayons obliques qui touchent le barillet, le bord des lentilles. Ainsi parfois des taches noires apparaissent sur les angles de la photo.